• L’un présente les paroles déjà brodées, celles de l’enfant mêlées à celles du public qui sont venues s’y ajouter.
  • L’autre mur, vide, invite les visiteurs à y partager eux aussi les paroles qui les ont un jour tués. Ces paroles sont brodées au fur et à mesure, l’artiste travaillant en direct sur place, et sont ajoutées à la collection sur l’autre mur.